Qui sommes-nous?

Alain

Dans les années 80 j’étais agriculteur-éleveur bio dans le Jura. A partir de 1986 j’ai construit là-bas ma ferme, puis un éco-hameau (Le Biolopin), et je faisais de l’accueil à la ferme et la table d’hôte. Peu à peu j’ai développé une activité d’éco-construction et d’encadrement de chantiers participatifs de maisons en bois, paille et bois cordé.
J’aime aujourd’hui transmettre et communiquer tous les savoirs que j’ai acquis : le fauchage à la faux, la géobiologie (sourcellerie), le bois cordé… J’aime aussi créer des sculptures en fers soudés, ou des objets au tour à bois.

Et la géobiologie?
J’ai acquis mes premières connaissances en géobiologie dès le début des années 1980.
J’étais alors agriculteur-éleveur bio dans le Jura. J’ai eu alors l’occasion de rencontrer le célèbre docteur vétérinaire Henry Quiquandon, pionnier de la géobiologie, et de le côtoyer lors de visites de terrain.
Le Syndicat des Agrobiologistes du Jura (dont j’étais alors président) l’avait invité plusieurs fois lors de visites de fermes et d’élevages bio. Les visites étaient ouvertes au plus grand nombre, afin de sensibiliser le public à ces questions.


Le vétérinaire inspectait l’organisation générale de la ferme (bâtiments, environnement, lignes électriques…), écoutait les problèmes concernant l’état de santé du bétail, les bons ou mauvais emplacements des vaches, et parfois le fermier l’invitait même à analyser son habitation.
A la suite de quoi il rendait son diagnostic bien utile à tous.
Je me souviens encore avec amusement qu’il avait un jour déplacé le lit d’un viticulteur en diagonale au milieu de la chambre! Je vous laisse deviner la réaction… L’histoire ne dit pas si le lit est resté là ou s’il a été replacé à l’endroit initial…

A cette époque, avec quelques amis passionnés de géobiologie, nous nous réunissions de temps en temps pour partager nos expériences et nos connaissances dans ce domaine.A partir de 1986 j’ai construit ma ferme, puis un éco-hameau (Le Biolopin) en prenant en compte les données élémentaires de la géobiologie (emplacement et choix des matériaux).
Cela m’a conduit vers une activité d’éco-construction et d’encadrement de chantiers participatifs de maisons en bois, paille et bois cordé.

En 2006 j’ai suivi une formation en Géobiologie et Radiesthésie auprès de Jean-Paul Leclerc pour aller un peu plus loin dans ce domaine.
En 2012 j’ai rencontré Céline, ce qui m’a conduit à encadrer les premiers stages avec l’association des Petites Ruches.

En 2014 j’ai acquis les deux premiers niveaux de Reïki auprès de Francis Gerbeau, géobiologue dans le sénonnais. Les connaissances et les capacités acquises par la pratique du reïki me sont très utiles en géobiologie.  En 2017, j’ai franchi une étape supplémentaire en suivant une formation avec Hervé (École Oviloroi), une approche nouvelle de la géobiologie sans outils de détection, avec la mesure du biochamp.
J’aime aujourd’hui transmettre et communiquer ce savoir. J’ai envie de faire toucher du doigt l’importance et la richesse des phénomènes invisibles, la magie de la vie, et de susciter par là-même l’émerveillement.

Céline

Mes deux grandes passions ce sont les plantes et les abeilles… les unes vont de paires avec les autres.

J’ai créé les Petites Ruches en 2010, d’abord dans l’Yonne et maintenant en Haute-Vienne. Alain m’a rejoint en 2012, et nous formons un duo très complémentaire dans nos activités, nos savoirs et savoirs-faire. J’ai une formation de paysagiste (école de Versailles), ce qui explique ma passion pour le jardin, et créer des espaces qui me ressemblent. J’aime aussi la vannerie sauvage, le travail de la laine et l’expérimentation des couleurs végétales.
J’ai découvert la géobiologie grâce à Alain. Cela m’a incitée à faire des recherche sur les ‘bons endroits’ pour placer une ruche, les fameux couloirs à abeilles.

En 2015 j’ai commencé à faire des vidéos (chaîne sur Youtube) pour communiquer mes passions. C’est devenu très important pour moi. Dès que je me passionne pour quelque chose j’ai envie de le donner à voir pour que d’autres puissent le découvrir à leur tour, s’émerveiller et continuer la chaîne de la transmission. Car l’heure est venue de réenchanter le monde!

Et la Géobiologie?
Je dois avouer qu’au départ j’étais plutôt sceptique et réticente envers cette discipline, en raison de mon esprit cartésien, et des études scientifiques que j’ai suivies. Mais je me suis prise au jeu, j’ai commencé à ressentir  les informations que mon corps me donnait, notamment la présence des passages d’eau. Aujourd’hui je suis vraiment passionnée, et j’ai toujours envie d’en savoir davantage.

J’aime me promener sur les lieux d’énergie, faire des photos et des films. J’ai appris à faire des vidéo par moi-même, à partir de 2015. Et aujourd’hui je suis heureuse de mettre mon savoir-faire au service des abeilles, des plantes, du jardin et de la Géobiologie. Je coanime les stages avec Alain (roses et bleus).
Cartésienne de par mon éducation scientifique, je me suis avancée à pas menus au début. Et ce qui m’a permis de m’aventurer plus loin, ce sont les abeilles! Je me suis passionnée pour la géobiologie grâce aux abeilles, mes merveilleuses amies ailées! J’ai écrit le livre Ruches Refuges en 2020, où je décris les emplacements de nids d’abeilles mellifères sauvages, dans les arbres et les murs des églises. J’ai compris que leur vitalité tenait en tout premier lieu de leur emplacement énergétique, des phénomènes géobiologiques de ces points précis, que les abeilles recherchent. J’ai entraîné Alain sur les chemins de montagne, en Ardèche et jusqu’en Espagne, pour aller étudier les anciens ruchers.
Aujourd’hui, lorsque je place un ruche « au bon endroit », et qu’un essaim vient s’y loger tout seul, je suis tellement heureuse! Cela me conforte, me rassure, m’encourage à poursuivre dans cette quête. Et surtout, cela me donne envie de transmettre ces savoirs oubliés. Car oui, les anciens savaient tout cela, mais ils le transmettaient de façon orale, et le monde d’aujourd’hui, après l’avoir égarée, est en train de redécouvrir cette connaissance.

Ce qui me passionne également c’est la géobiologie sacrée, et en particulier l’observation des chapiteaux romans et l’orientation des chapelles, qui recèlent tant de messages des bâtisseurs. Beaucoup d’enseignement sont à la vue de tout un chacun, dans les chapelles romanes du 11ième ou 12ième siècle. J’aime aussi beaucoup découvrir les sites mégalithiques, cromlech, menhirs et dolmens.

Si vous voulez consulter notre second site ‘Petites Ruches’, c’est ici : https://petitesruches.fr/