Les Anciens connaissaient cette science

Rucher : ruches troncs en ardèche
ruches troncs

l’observation de très antiques ruchers montre que les ruches y étaient placées de préférence sur certains réseaux et points telluriques particulièrement bénéfiques pour les abeilles, et en particulier pour leur résistances immunitaires.



Cas d’une ruche faible
Dans notre rucher nous avions repéré qu’une ruche périclitait systématiquement.
Nous avons décidé d’analyser ce point par des mesures géobiologiques, afin de savoir si ces facteurs pouvaient être en cause. Il s’est avéré que cette ruche était placée à l’aplomb d’une faille géologique, rendant l’énergie de ce point très négative.
Conclusion : A présent nous installons chaque nouvelle ruche en prenant soin de choisir un point particulièrement propice à la bonne santé des abeilles.

Vous trouverez beaucoup d’informations complémentaires sur le livre ‘Ruches refuges’ paru en 2020 aux Éditions Ulmer

Ce qui nous intéresse depuis des années est d’essayer de comprendre quels emplacements préfèrent les abeilles, et d’essayer humblement de copier ce qu’elles nous enseignent ; ceci pour leur préservation.
En effet, la récolte du miel n’est pas notre propos.
Nous accueillons des abeilles depuis de nombreuses années, en ruches refuges, qui sont des ruches de pollinisation dans lesquelles nous ne récoltons rien, et qui se situent dans le jardin.
Nous ne pratiquons pas de transhumance, pas de remplacement de reines, ni aucun nourrissement, et ceci depuis fort longtemps.

Conseils
Nous éviterons de placer des ruches sur des croisement de réseaux négatifs de type Nickel et Fer, ainsi que sur les passages d’eau souterrains. Et nous privilégierons si possible les lignes de passage du réseau abeille (cuivre+or) de niveau 2 ou 3.

Nous intervenons chaque année en mai pour récupérer des essaims vagabonds, afin qu’il ne soient pas détruits : ce sont des endroits intéressants et significatifs au niveau géobiologique. Ce qui me semble intéressant c’est que les abeilles les ont choisis elles-même et s’y sont installées pour y vivre.
Les ‘bonnes fenêtres’ sont parfois réoccupées chaque année, et sont bien connues par les habitants du village.

Nous connaissons de nombreuses colonies installées de façon spontanée dans notre environnement proche : églises, arbres creux, trous de murs, pigeonnier, tour, poteaux électriques en béton, fenêtres… lorsque nous en avons l’occasion, nous analysons le point et cela conforte peu à peu notre analyse.

Depuis 2010 nous proposons aux stagiaires en apiculture une petite approche de la géobiologie, et nous leur faisons part de nos recherches dans le domaine lié aux abeilles. Les personnes sont presque toutes totalement néophytes, et peuvent ensuite approfondir le sujet si elles veulent aller plus loin.