terre, eau, pierre, arbre…

Beaucoup de sites sacrés sont régénérateurs et leur étude géobiologique nous indique que ces lieux « vibrent » et nous équilibrent, nous ressourcent, rechargent nos batteries.
Parmi nos ancêtres, hommes et femmes du Néolithique, ou encore de l’époque celte, ou gallo-romaine, ou de celle des bâtisseurs de cathédrales, nombreux étaient ceux qui avaient la connaissance de ces énergies subtiles qu’ils ont su utiliser et magnifier.

Voici un exemple :
imaginons que nous nous trouvions en présence d’une grosse pierre, de type menhir, au cours d’une promenade dans la forêt. Cette pierre a été placée là il y a plusieurs milliers d’années, au Néolithique peut-être.
La pratique de la géobiologie va nous permettre de rechercher ce qui se cache ‘sous’ et ‘autour’ de cette pierre, sans avoir besoin de la toucher.
Qu’est-ce qu’on pourrait bien y trouver?
Peut-être un ou plusieurs courants d’eau souterrains…
Ah! comme le font les sourciers?
Oui, le sourcier trouve l’eau grâce à ses baguettes de noisetier.
Et on peut rechercher d’autres choses que de l’eau?
La géobiologie permet de déceler de nombreux phénomènes intéressants tels que des failles ou des cavités souterraines, et bien d’autres influences telles que les rayonnement de certains métaux en fusion au centre de la Terre (Nickel,Fer, cuivre)…, mais aussi des vortex d’énergie ou encore des liens éthériques avec d’autres lieux de la même époque.
Mais quel est l’intérêt de savoir tout ça?
Reprenons l’exemple de notre pierre : si nous constatons que plusieurs éléments se croisent juste en dessous d’elle, on peut supposer qu’elle a été placée à cet endroit il y a bien longtemps, dans un but bien précis. Le plus souvent, dans le but de contribuer à la bonne santé des populations, les animaux et les récoltes.